Diables au paradis est un roman du journaliste Franco Di Mare paru le 5 Mai 2014 aux éditions Liana Levi.
Présentation de l'éditeur :
Naples. Magique et terrifiante. Côté face, une des baies les plus spectaculaires au monde. Côté pile, des quartiers en décomposition. Le bien et le mal, indissolublement liés. Chacun, quel qu’il soit, participe à la corruption ou subit l’impitoyable machine à broyer du système mafieux. Fillettes déguisées en femmes, poussées par les ambitions de leurs parents dans des concours télévisés. Gamins trop vite grandis, prêts à tuer pour laver l’honneur de leur quartier. Certains, tout près de s’en sortir, retomberont dans la fange, comme Carmine Cacciapuoti, brillant aspirant professeur trahi par ses pairs et devenu tueur à gages. D’autres s’accrocheront coûte que coûte à l’idée de justice. Le journaliste Marco de Matteo est de ceux-là. Deux destins qui finiront par se croiser...
Diables au paradis, histoire de haine, de passion, d’amitié et de trahison, est aussi un formidable portrait d’une ville et de ses habitants.
Naples. Magique et terrifiante. Côté face, une des baies les plus spectaculaires au monde. Côté pile, des quartiers en décomposition. Le bien et le mal, indissolublement liés. Chacun, quel qu’il soit, participe à la corruption ou subit l’impitoyable machine à broyer du système mafieux. Fillettes déguisées en femmes, poussées par les ambitions de leurs parents dans des concours télévisés. Gamins trop vite grandis, prêts à tuer pour laver l’honneur de leur quartier. Certains, tout près de s’en sortir, retomberont dans la fange, comme Carmine Cacciapuoti, brillant aspirant professeur trahi par ses pairs et devenu tueur à gages. D’autres s’accrocheront coûte que coûte à l’idée de justice. Le journaliste Marco de Matteo est de ceux-là. Deux destins qui finiront par se croiser...
Diables au paradis, histoire de haine, de passion, d’amitié et de trahison, est aussi un formidable portrait d’une ville et de ses habitants.
Avec ses recettes napolitaines, l'auteur-journaliste Franco Di Mare nous fait voyager dans son Naples natal au moyen d'un rythme soutenu. Dans son Naples ensoleillé, on est loin de la grande mafia organisée mais on se situe vraiment au cœur de la délinquance qui règne dans les rues napolitaines. Dans ce Naples, on assiste à la naissance d'un tueur à gage loin des préjugés que l'on peut avoir sur ce genre de personne. En effet, Carmine est diplômé d'un doctorat. Docteur en assassinat ? Non, en
philologie, rien que ça ! Victime d'un coup monté l'empêchant de briller dans son métier, il doit se rabattre sur le premier boulot venu pour payer les factures ... triste constat d'un monde qui va mal.
Naples, la "Capitale du Sud", offre à la fois une vision d'une ville idyllique et celle d'une ville dangereuse. L'auteur aime sa ville mais dénonce le mal qui la gangrène. Pour ce faire, il donne à Diables au paradis un petit côté documentaire qui glace le sang.
Ce qui m'a le plus marqué dans cette histoire c'est la richesse des dialogues entre Carmine et un journaliste. Les références littéraires du tueur lancent le journaliste sur un jeu de piste qui m'a légèrement rappelé l'affaire du tueur du Zodiaque. Diables au paradis est une très bonne lecture riche d'une plume experte.
Naples, la "Capitale du Sud", offre à la fois une vision d'une ville idyllique et celle d'une ville dangereuse. L'auteur aime sa ville mais dénonce le mal qui la gangrène. Pour ce faire, il donne à Diables au paradis un petit côté documentaire qui glace le sang.
Ce qui m'a le plus marqué dans cette histoire c'est la richesse des dialogues entre Carmine et un journaliste. Les références littéraires du tueur lancent le journaliste sur un jeu de piste qui m'a légèrement rappelé l'affaire du tueur du Zodiaque. Diables au paradis est une très bonne lecture riche d'une plume experte.
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