Présentation de l'éditeur :
Est-il possible d’élucider un crime vieux de plus de cent cinquante ans ? Et avec pour seuls témoignages des souvenirs épars inscrits de façon inexplicable dans le corps d’une antique lampe à pétrole ? Tel est le défi qui va entraîner Frans Bogaert dans l’Amérique du XIXe siècle sur les traces d’un magnétiseur suspect et d’un prophète aux allures d’assassin... Mais c’est lorsque cette lanterne magique tisse des liens insoupçonnés entre Lauren, sa mystérieuse assistante, et Laura, sa femme disparue, que le cœur de l’antiquaire s’emballe. Le gentleman de Bruges doit dès lors enquêter parmi les spectres, dans un étrange réseau d’indices hypnotiques où la réalité s’égare, avec en ghost star l’ombre décharnée d’Edgar Poe au crépuscule de sa vie. Entre histoire littéraire et meurtres fantastiques, un invraisemblable voyage dans la vieille ville de Providence avec un Bogaert s’improvisant pour l’occasion génie de la lampe.
Nouvel opus mettant en scène notre cher antiquaire détective, Frans Bogaert, La lampe de providence continue à surprendre sans jamais nous lasser. Cette fois-ci, une lampe bien mystérieuse est offerte à Frans par son assistante Lauren.
Sans jamais tomber dans le ridicule et l'illogisme, le récit nous renvoie dans le passé par le biais d'images entraperçues dans l'énigmatique objet. Des séquences apparaissent de manière épisodique à celui ou celle qui décide d'utiliser la lampe. Mais en contrepartie, après avoir offert ses souvenirs, la lampe de providence récupère ceux de son détenteur ...
Comme si elle brûlait à l'essence de remords.
Les mystères n'en restent pas là. En plus d'un meurtre commis plus d'un siècle plus tôt, l'ombre de Madame Bogaert ressurgit. Les questions concernant sa disparition continuent à fuser et le mystère semble prendre une direction plus catastrophique qu'il n'y paraissait précédemment. L'atmosphère de cet opus est bien sombre, à l'image de l'un de ses personnages, le non-moins excellent auteur : Edgar Allan Poe.
Épisode après épisode, Hervé Picart confirme que son œuvre forme bel et bien un tout qui se savoure sans modération. A noter que la couverture a changé et offre au roman un look magnifique.
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