La cavalerie charge est un ouvrage signé Barry Gifford aux éditions 13E Note.
Présentation de l'éditeur :
Poèmes, notes sur le cinéma et la littérature : La cavalerie charge
est un recueil sage et intime qui fait étinceler diverses facettes du
talent de Barry Gifford. Sa culture cinématographique et littéraire
s’exprime au fil des pages. De Marcel Proust (à qui il rend hommage dans
ses «Lettres à Marcel Proust») à Francis Ford Coppola, Gifford évoque
ses nombreuses influences. Ce recueil est agrémenté de dessins : des
portraits de ses «héros», Nelson Algren, Albert Camus, Jack Kerouac, Jim
Thompson, Muddy Waters ou Robert Mitchum.
La cavalerie charge est un mélange de récit autobiographique et de recueils de textes, dessins et poésie rédigés par le touche-à-tout Barry Gifford. Pour le présenter brièvement, il est l'auteur entre autre de Sailor et Lula (réalisé au cinéma par David Lynch) et de l'excellent Perdita Durango (réalisé au cinéma par Alex De La Iglesia). Il est également le scénariste de Lost Highway de David Lynch et de Jimmy de Matt Dillon. Âgé aujourd'hui de 66 ans, il nous offre dans La cavalerie charge quelques anecdotes fort sympathiques sur son passé et ses connaissances dans les milieux du cinéma et littéraire.
Dans la partie cinéma, on apprend pas mal d'anecdotes en tout genre sur des films qui ont vu le jour et d'autres qui n'ont jamais pu naître pour différentes raisons. Barry Gifford écrit avec beaucoup d'admiration sur ses amis vedettes comme Coppola ou Lynch et sur les acteurs qu'il admire.
Puis vient la partie littérature où il référence les ouvrages littéraires qui ont le plus compté pour lui et explique pourquoi. On peut d'ailleurs remarquer une grande admiration pour la littérature française, et plus spécifiquement pour Marcel Proust.
C'est assez captivant, l'auteur-cinéaste nous balade dans des fragments de sa vie et de ses réflexions. Sa poésie est enivrante et musicale. La cavalerie charge est une jolie découverte agrémentée de beaux portraits dessinés par l'auteur.
Dans la partie cinéma, on apprend pas mal d'anecdotes en tout genre sur des films qui ont vu le jour et d'autres qui n'ont jamais pu naître pour différentes raisons. Barry Gifford écrit avec beaucoup d'admiration sur ses amis vedettes comme Coppola ou Lynch et sur les acteurs qu'il admire.
Puis vient la partie littérature où il référence les ouvrages littéraires qui ont le plus compté pour lui et explique pourquoi. On peut d'ailleurs remarquer une grande admiration pour la littérature française, et plus spécifiquement pour Marcel Proust.
C'est assez captivant, l'auteur-cinéaste nous balade dans des fragments de sa vie et de ses réflexions. Sa poésie est enivrante et musicale. La cavalerie charge est une jolie découverte agrémentée de beaux portraits dessinés par l'auteur.
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