Les morsures de l'ombre est un roman de Karine Giebel. Récompensé par le prix SNCF du polar français et par le prix Intramuros, ce roman n'est pas passé inaperçu dans le cercle littéraire des amateurs de polar.
Présentation de l'éditeur :
Les morsures de l'ombre se présente sous forme de survival version Misery de Stephen King mais n'a rien à envier à ce dernier. Comme un coup de poing reçu en plein visage, le texte se montre agressif en ne s'embarrassant pas de détails et en allant droit au but.
Dès le départ, le récit prend aux tripes. La plume affûtée de l'auteure offre au lecteur un thriller terriblement efficace. Maniant la cadence de très belle manière, Karine Giebel fournit à son roman un rythme haletant qui devrait plaire à de nombreux lecteurs.
Les séquences alléchantes ne manquent pas et m'ont rappelé à de nombreuses reprises l'excellent Prédation de Jérôme Camut et Nathalie Hug. L'auteure maîtrise l'épouvante, elle sait façonner ses personnages de manière à nous les rendre vivants. Notamment le personnage de Benoît et celui de Lydia. Ces deux rivaux connaissent une relation bien particulière, presque effrayante.
Le bourreau et sa victime, le prédateur et sa proie. Tout les oppose mais ces deux personnages ne sont pas tant différents. Ils se plaisent à se cacher des autres pour mieux jouir de leur plaisir. Chacun à sa manière bien entendu.
On se doute malgré tout de qui tire les ficelles mais ça n'enlève en rien l'efficacité du roman. Les morsures de l'ombre est un coup de cœur, un petit plaisir qui se laisse dévorer sans limite. A lire pour tout amateur d'histoire à forte tension.
Elle est belle, attirante, disponible. Il n'a pas hésité à la suivre pour prendre un dernier verre.
A présent il est seul, dans une cave, enfermé dans une cage. Isolé. Sa seule compagnie ? Sa séductrice et son bourreau. Et elle a décidé de faire durer son plaisir très longtemps. De le faire souffrir lentement.
Pourquoi lui ? Dans ce bras de fer rien n'est dû au hasard. Et la frontière entre tortionnaire et victime est bien mince...
Les morsures de l'ombre se présente sous forme de survival version Misery de Stephen King mais n'a rien à envier à ce dernier. Comme un coup de poing reçu en plein visage, le texte se montre agressif en ne s'embarrassant pas de détails et en allant droit au but.
Dès le départ, le récit prend aux tripes. La plume affûtée de l'auteure offre au lecteur un thriller terriblement efficace. Maniant la cadence de très belle manière, Karine Giebel fournit à son roman un rythme haletant qui devrait plaire à de nombreux lecteurs.
Surtout ne pas céder au sommeil.
Les séquences alléchantes ne manquent pas et m'ont rappelé à de nombreuses reprises l'excellent Prédation de Jérôme Camut et Nathalie Hug. L'auteure maîtrise l'épouvante, elle sait façonner ses personnages de manière à nous les rendre vivants. Notamment le personnage de Benoît et celui de Lydia. Ces deux rivaux connaissent une relation bien particulière, presque effrayante.
Le bourreau et sa victime, le prédateur et sa proie. Tout les oppose mais ces deux personnages ne sont pas tant différents. Ils se plaisent à se cacher des autres pour mieux jouir de leur plaisir. Chacun à sa manière bien entendu.
On se doute malgré tout de qui tire les ficelles mais ça n'enlève en rien l'efficacité du roman. Les morsures de l'ombre est un coup de cœur, un petit plaisir qui se laisse dévorer sans limite. A lire pour tout amateur d'histoire à forte tension.
7 commentaires:
Tu parles de Misery, de Prédation. Des livres que j'ai bien aimés ! Je crois que je vais noter ce titre ^^
tu as du effectivement le lire très vite, je n'ai pas eu le temps de lire l'article précédent....
Il est vraiment très prenant comme roman. Je ne connais personne dans mon entourage qui n'a pas aimé. J'espère que ce sera votre cas si vous avez la chance de le lire ! ;)
Bonjour Mika,
Contrairement à certains, qui trouvent le livre mal écrit et sans grand intérêt, J'ai pour ma part, toujours défendu "les morsures de l'ombre". Plus profond qu'il n'y paraît, ce face à face entre le bourreau et sa victime, m'a beaucoup intéressé, car j'y ai trouvé un nombre d'indices psychologiques très intéressants à décrypter. Simple, direct et bien écrit : je le conseille vivement! Quant à moi, maintenant que je viens de lire ton billet : il va falloir que je prenne une résolution - lire enfin Camut et Hug, il est plus que temps! Amitiés, MIC.
Je te conseille vivement Prédation de Camut et Hug, je trouve que c'est leur meilleur roman.
Je pense que Les morsures de l'ombre a l'écriture qu'il lui faut. Simple et direct, pour reprendre ce que tu as écrit. Je ne pense pas que le lecteur vive le roman de la même manière si le style avait été différent.
A bientôt
Bof, bof, je n'ai pas été tellement convaincu par ca roman. Il se lit bien, c'est vrai, mais les personnages sont caricaturaux, et certaines scènes peu crédibles (la visite de la fille chez le psy, notamment). Quant au style, je l'ai trouvé assez négligé, voire vulgaire. Bref, comparer Les morsures de l'ombre à Misery revient comparer Gourcuff à Zidane!
J'ai trouvé que l'intérêt principal du roman était justement sa capacité à nous captiver. L'histoire est superbement bien amenée.
Et puis, j'aime bien Gourcuff ... enfin celui de Bordeaux ... l'ancien quoi ! Bref ... :-)
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