Stupeur et tremblements est un roman autobiographique d'Amélie Nothomb.
Présentation de l'éditeur :
Véritable choc des cultures mis en scène, Stupeur et tremblements décrit de très belle façon la différence de mentalité entre les japonais et les occidentaux, représentés ici par la jeune Amélie. Celle-ci se voit malmenée par sa hiérarchie et parfois même humiliée pour des raisons qui peuvent nous paraître totalement absurdes. Mais n'oublions pas que la culture nippone diverge totalement de la nôtre, et notamment dans le monde du travail. Le travail y est synonyme de fierté et la vie des employés est censée tourner autour de leur entreprise.
Stupeur et tremblements est la confrontation des idéaux nippons aux idéaux occidentaux. Le monde du travail est frustrant et humiliant mais la jeune Amélie ne se décourage pas face aux attaques incessantes de sa hiérarchie et semble même comprendre leurs actes issus de leur culture. Et bien que la place de la femme soit encore pire, la jeune héroïne tente de bouleverser ces idéaux et de donner une once d'humanité dans ce monde de brutes et d'injustices.
Stupeur et tremblements est un récit bouleversant et rempli de compassion. C'est un texte riche et intéressant qui aurait gagner à être un peu plus long. Une œuvre majeure pour l'auteure belge qu'il ne faut pas louper.
Présentation de l'éditeur :
Au début des années 1990, la narratrice est embauchée par Yumimoto, une puissante firme japonaise. Elle va découvrir à ses dépens l’implacable rigueur de l’autorité d’entreprise, en même temps que les codes de conduite, incompréhensibles au profane, qui gouvernent la vie sociale au pays du Soleil levant.
D’erreurs en maladresses et en échecs, commence alors pour elle, comme dans un mauvais rêve, la descente inexorable dans les degrés de la hiérarchie, jusqu’au rang de surveillante des toilettes, celui de l’humiliation dernière. Une course absurde vers l’abîme – image de la vie –, où l’humour percutant d’Amélie Nothomb fait mouche à chaque ligne.
Entre le rire et l’angoisse, cette satire des nouveaux despotismes aux échos kafkaïens a conquis un immense public et valu à l’auteur d’Hygiène de l’assassin le Grand Prix du roman de l’Académie française en 1999.
D’erreurs en maladresses et en échecs, commence alors pour elle, comme dans un mauvais rêve, la descente inexorable dans les degrés de la hiérarchie, jusqu’au rang de surveillante des toilettes, celui de l’humiliation dernière. Une course absurde vers l’abîme – image de la vie –, où l’humour percutant d’Amélie Nothomb fait mouche à chaque ligne.
Entre le rire et l’angoisse, cette satire des nouveaux despotismes aux échos kafkaïens a conquis un immense public et valu à l’auteur d’Hygiène de l’assassin le Grand Prix du roman de l’Académie française en 1999.
Véritable choc des cultures mis en scène, Stupeur et tremblements décrit de très belle façon la différence de mentalité entre les japonais et les occidentaux, représentés ici par la jeune Amélie. Celle-ci se voit malmenée par sa hiérarchie et parfois même humiliée pour des raisons qui peuvent nous paraître totalement absurdes. Mais n'oublions pas que la culture nippone diverge totalement de la nôtre, et notamment dans le monde du travail. Le travail y est synonyme de fierté et la vie des employés est censée tourner autour de leur entreprise.
Après tout, ce que j'avais voulu, c'était travailler dans une entreprise japonaise. J'y étais.
Stupeur et tremblements est la confrontation des idéaux nippons aux idéaux occidentaux. Le monde du travail est frustrant et humiliant mais la jeune Amélie ne se décourage pas face aux attaques incessantes de sa hiérarchie et semble même comprendre leurs actes issus de leur culture. Et bien que la place de la femme soit encore pire, la jeune héroïne tente de bouleverser ces idéaux et de donner une once d'humanité dans ce monde de brutes et d'injustices.
Stupeur et tremblements est un récit bouleversant et rempli de compassion. C'est un texte riche et intéressant qui aurait gagner à être un peu plus long. Une œuvre majeure pour l'auteure belge qu'il ne faut pas louper.
6 commentaires:
Très bon moment de lecture, oui. Dans un registre bien différent, "L'hygiène de l'assassin" est aussi un excellent souvenir.
Pas lu mais je ne manquerai pas de le lire ! Merci ;)
contente que tu aies aimé :)
En effet, j'ai bien aimé ! Je continuerai à lire Nothomb. :)
C'est étrange, j'ai lu quasi tous les Nothomb et j'aime beaucoup ce qu'elle fait mais celui-ci est le seul que je n'ai même pas réussi à terminer !
Ah bon ? J'ai hâte de lire les autres alors, s'ils sont meilleurs !
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