Présentation de l'éditeur :
Six ans. Six ans déjà que Myron Bolitar, ex-champion de basket, ex-agent sportif, ex- détective de choc, n'a pas touché une arme à feu. Six ans qu'il s'est tenu loin des petites frappes et des gangsters de tout poil. Mais cette existence tranquille est sur le point de basculer...
Myron Bolitar a fait une promesse.
Celle d'être là pour Aimée, la fille d'une amie.
N'importe où, n'importe quand.
Quelques jours plus tard, la jeune fille disparaît. Myron est la dernière personne à l'avoir vue... Fugue ? Enlèvement ?
Myron mène l'enquête, pour prouver son innocence, mais aussi parce qu'il a promis aux parents d'Aimée de retrouver leur fille.
Et une promesse est une promesse...
Sueurs froides, frissons, un suspense diabolique par le maître de nos nuits blanches.
Myron Bolitar a fait une promesse.
Celle d'être là pour Aimée, la fille d'une amie.
N'importe où, n'importe quand.
Quelques jours plus tard, la jeune fille disparaît. Myron est la dernière personne à l'avoir vue... Fugue ? Enlèvement ?
Myron mène l'enquête, pour prouver son innocence, mais aussi parce qu'il a promis aux parents d'Aimée de retrouver leur fille.
Et une promesse est une promesse...
Sueurs froides, frissons, un suspense diabolique par le maître de nos nuits blanches.
Six ans après sa dernière histoire, Myron Bolitar se voit rendosser, malgré lui, le rôle de détective pour retrouver la trace de la fille d'un couple d'amis. On ne pensait pas revoir Myron après cette longue absence mais l'auteur avait prévenu que son héros récurrent reviendrait uniquement lorsqu'il lui aurait trouvé une histoire 'sur mesure'. Après Balle de match, Promets-moi est le deuxième roman de l'alliance Coben/Bolitar que j'ai lu. Et contrairement à Balle de match, Promets-moi se révèle être plutôt bon, avec son lot de rebondissements et d'actions à la manière d'un Juste un regard ou Disparu à jamais qui font partis, d'après moi, de ses meilleures histoires. On retrouve donc avec plaisir un personnage légèrement plus mûr avec à ses côtés, son vieil ami Win qui semble être le petit diable assis sur l'une des épaules du héros, le côté sombre et violent de Myron.
Et l'instant d'après - le tout dernier "si seulement" -, Myron a promis.
Myron Bolitar est, à peu de choses près, le même personnage principal un peu naïf qu'on avait laissé quelques années plus tôt. Un personnage beau, grand, charmeur, intelligent, malin, ayant toujours la bonne répartie ... un peu trop propre sur lui, mais qui a toujours un peu de mal à comprendre les réactions extérieures, et notamment celles des femmes. Il représente l'archétype même du type qui agace, de la tête à claque. Il est sportif, ne boit presque pas une goutte d'alcool, tient ses promesses (à ses dépens) ... il est le personnage type d'un 'Happy Thriller' (ou 'thriller blanc' pour contraster avec roman noir) totalement opposé aux anti-héros de roman noir, à la manière d'un Jack Taylor par exemple. Mais dans cet ouvrage, l'auteur a la volonté de faire mûrir son personnage principalement lors des relations qu'il entretient avec les femmes ("Pour être honnête, il la traitait différemment parce qu'elle était une fille."). Myron se pose un tas de questions concernant le 'mode de fonctionnement' de la gente féminine, sur l'interprétation de leurs gestes, leurs comportements ... pour apprendre enfin comment se comporter avec elles. L'agent des stars prend conscience qu'une femme n'est pas qu'un joli corps fragile mais est aussi un être humain égal aux hommes ... il était temps !
- Derrière chaque grande fortune, il y a un grand crime.
Malgré ces traits négatifs du personnage et quelques sermons rendant les dialogues parfois agaçants, le roman s'avère être un véritable page-turner assez violent parfois, sans temps mort et avec son lot suffisant de rebondissements et de suspense. L'auteur arrive avec maestro à retenir notre attention et je dois avouer qu'il m'a été difficile de fermer le livre le soir pour me coucher. Totalement efficace, Promets-moi me réconcilie avec Myron Bolitar et me motive quant à l'envie de relire une de ses aventures. Une belle surprise donc ! Une question me taraude quand même l'esprit, est-ce une volonté de l'auteur d'avoir fait le personnage à son image ? Myron est grand, posé, semble être la perfection de l'être humain (toujours les bonnes décisions etc.) ... et l'auteur se permet même une auto-référence : "rien n'est aussi vendeur que la peur".
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2 commentaires:
J'ai lu très peu d'Harlan Coben. Récemment j'ai lu Dans les bois. J'avais bien aimé.
Pas encore lu Dans les bois pour ma part. Il me tentait bien, je pense que je prendrai le temps de le lire !
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